L'avenir est l'affaire de Tous

A l'échelle d'un siècle, dans notre pays, les choses ont bien avancé pour les Hommes avec un grand H., sur beaucoup de plans et notamment en terme de conditions de travail : la législation du travail, la limitation de sa durée, le droit à la retraite, le système de redistribution, la démocratisation des études, le droit à la formation continue, les comités d'entreprises, les représentants du personnel, les organisations syndicales, les congés payés,  la vie des individus est de plus en plus agréable

Tout ceci a, un jour, été proposé et construit...

Pourtant,
ces dernières années le monde du travail connaît des mutations importantes qui sont inquiétantes : La recherche du profit écrase souvent les Humains. Les "combinaisons productives" proposées recherchent majoritairement le profit financier au dépend du bien-être. Les méthodes de management évoluent vite et  sont, elles aussi, souvent peut propices à  l'individu.
 

Alors il faut rester vigilants, veilleurs,

Car TOUS,  nous sommes, nous serons ou nous avons tous été ACTIFS. Nous participons, avons participé ou participerons TOUS au développement du monde : ne nous laissons pas privés d'une organisation du travail saine et épanouissante. Soyons vigilants et entrons en action. 

Qui est censé s'occuper de ça ? Le ministère du travail, les syndicats, les comités d'entreprise, les entreprises;
Il manque un parti selon nous : les individus.  

La définition d'une association est simple : ce sont des individus qui s'associent pour un but commun.

Alors nous sommes pour l'instant un petit nombre à nous être regroupés à nouveau car bien que ce soit un sujet compliqué et un voyage sans arrivée, nous pensons nécessaire et constructif qu'une association indépendante aborde sans complexe les problématiques liées au monde du travail.

Voici notre but : s'occuper des actifs aujourd'hui et préparer le monde du travail de demain, par la médiation culturelle.

Par la médiation culturelle?

Oui. Car ce n'est pas simple de parler travail en dehors du travail, ou sur les lieux de travail, de l'observer pour l'améliorer. Alors la médiation culturelle : c'est la part sensible, c'est la petite bulle, la respiration qui fera qu'il sera plus facile d'en parler, plus facile de partager, et plus facile de le travailler.

Peut-on y apporter des réponses ? Qui peut y apporter des réponses? 

Si personne ne le peut à l'heure actuelle, cela nous empêche-t-il de favoriser une réflexion collective à notre échelle? Non.
Devons-nous arrêter de croire qu'il est possible que les choses s'améliorent ? Non.
Devons-nous croire que les autres s'en occuperont ? Ajoutons-nous à eux. 

Car à notre échelle, nous pouvons déjà faire beaucoup de choses.